La confiance
La confiance est l’élément de base dans l’établissement des relations de travail positives entre collègues, avec l’employeur et l’organisation. Cette confiance peut se présenter sous deux formes : la confiance affective ainsi que la confiance cognitive. La première réfère aux relations qui impliquent un certain niveau d’émotivité tandis que la seconde réfère davantage à la confiance qu’on peut avoir envers un collègue qui a démontré ses compétences. Les deux types de confiance sont essentiels dans l’établissement d’un bon climat de travail.
L’autonomie
Les personnes ont besoin de sentir qu’elles ont une marge de manœuvre pour accomplir leurs tâches et qu’elles ne seront pas constamment surveillées (la surveillance et le soutien sont deux concepts très différents.). Évidemment, ce concept d’autonomie est indissociable du concept de confiance.
Le pouvoir décisionnel
Les études démontrent que le fait de cultiver le sentiment que les gens dans l’entreprise peuvent s’exprimer sur les différentes décisions et, lorsque possible, de pouvoir participer au processus décisionnel dont le résultat aura un impact direct sur leur réalité de travail, un effet indiscutable sur le sentiment d’appartenance et la motivation des employés à s’impliquer davantage dans l’entreprise.
Le sentiment d’appartenance
Comme gestionnaire, il importe de se questionner si les employés adhèrent aux valeurs de l’entreprise et à sa raison d’être, mais aussi sur les moyens pouvant leur permettre de se les approprier. Un système de reconnaissance et d’activités en dehors du travail peut également être un bon moyen pour favoriser l’appartenance. En retour, le sentiment d’appartenance viendra consolider les intentions de l’employé dans l’entreprise ainsi que son implication et sa productivité.
La charge de travail
Des mandats et des attentes clairs, une répartition équilibrée de la charge de travail, la reconnaissance des compétences de chaque employé et l’offre de soutien disponible sont autant de moyens qui ont démontré leur efficacité à agir positivement non seulement sur le bien être des employés, mais également sur la productivité.
Le sentiment de compétence
Le fait d’offrir des possibilités de perfectionnement et d’avancement horaires un impact direct sur la motivation des employés à s’investir davantage dans l’entreprise mais également sur le sentiment d’appartenance et de reconnaissance.
Le climat de travail
Pour favoriser un climat de travail optimal, il importe de se questionner sur les attitudes qui sont valorisées dans l’organisation, ainsi que sur celles qui sont considérées inacceptables. De plus, le fait de mettre en place des canaux de communication qui facilitent et valorisent les interactions efficaces et positives entre les employés, avec les supérieurs et avec l’organisation est essentiel pour établir bon climat de travail